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Fort de sa singularité culinaire, le Japon se visite aussi (et surtout) pour sa gastronomie et ses traditions culinaires. Entre les emblématiques sushis, les plats que l'on mange sur le pouce et les desserts à base de pâte d'haricot rouge, par lequel allez-vous commencer ?
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Est-il possible d’envisager un voyage au Japon sans déguster de véritables sushis japonais ? 🍣 Ce plat extrêmement raffiné se compose d’une boule de riz vinaigré surmontée d’une lamelle de poisson cru. On en trouve dans les konbini (épiceries) et supermarchés, mais pour une expérience gustative et visuelle complète, il est recommandé de se rendre dans un sushi-ya (un restaurant spécialisé dans les sushis). Vous aurez alors tout loisir d’observer le chef en pleine action : un véritable artiste !
Vous serez sans doute surpris par certains sushis aux goûts et aux textures inconnus, notamment celui à l’oursin ou aux œufs de saumon. Mais cela fait aussi partie du jeu ! N’oublions pas non plus les makis, ces petits cylindres composés de riz et enveloppés dans une feuille d’algue nori 🍙. On peut déguster les sushis avec des baguettes, mais aussi directement avec les doigts (c’est autorisé), sachant qu’ils s’avalent en une seule bouchée.
L’okonomiyaki pourrait être assimilée à une sorte de crêpe épaisse et bien garnie ou encore une omelette. Mieux vaut avoir bien faim pour en venir à bout ! C’est un plat à base de chou et d’oignons verts relevé avec un peu de gingembre. La garniture varie selon les régions : bœuf, porc, crevettes, poulpe…
L’okonomiyaki est cuite devant vos yeux sur une plaque chauffante. Elle est ensuite recouverte d’une sauce sucrée-salée avec un petit goût fumé. Puis on y ajoute un filet de mayonnaise (de manière à dessiner un filet sur la crêpe) et on finit par une poignée de flocons de bonite séchée qui ont la particularité de danser au gré de la chaleur.
Ces brochettes de viandes grillées sont un autre incontournable de la cuisine japonaise. Littéralement, yakitori signifie “oiseaux grillés”, puisqu’à l’époque, elles n’étaient composées que de poulet. Aujourd’hui, on en trouve à la viande, au poisson, aux abats (cœur, foie, intestins, peau), mais également aux champignons et aux légumes grillés. Ce plat très populaire est généralement accompagné d’une sauce sucrée. On peut déguster ces fines brochettes dans la rue, sur des stands appelés yataï ou installés bien au chaud dans un izakaya, un restaurant traditionnel japonais.
On a notre jambon-beurre, les japonais ont leur onigiri ! Ce petit “sandwich” triangulaire à base de riz vinaigré enveloppé dans une feuille d’algue nori est le préféré des écoliers qui le mangent sur le pouce à l’heure du goûter. Peu cher, mais délicieux, tout le monde y est accro. L’onigiri traditionnel est fourré d’une prune très salée appelée umeboshi. Thon-mayo, crevette frite, omelette, légumes ou nature, il est un délice simple et savoureux pour petits et grands.
D’autres variantes existent comme par exemple le yaki-onigiri, un onigiri grillé, ou encore l’oinari-san enveloppé dans une poche de tofu grillé. On trouve des onigiris partout sur les étalages des konbini, mais aussi dans les onigiri-ya, des petites boutiques spécialisées.
Le ramen est un plat copieux tout aussi emblématique du Japon que les sushis. C’est d’ailleurs le plat préféré de l’un des plus grands héros de manga de tous les temps : Naruto. Il est un mets particulièrement apprécié en hiver car il est très nourrissant et se déguste brûlant. Les nouilles sont fabriquées à partir de farine de blé que l’on plonge dans un bouillon très riche à base de sel (shio), de miso, de sauce soja (shoyu) ou d’os de porc (tonkotsu).
Lorsque l’on commande un ramen, on peut totalement le personnaliser : type de bouillon, niveau de salinité, cuisson des pâtes. Il est aussi possible d’y ajouter des ingrédients en plus : oignons verts, algues nori, oeuf mariné, pousses de bambou, tranches de porc (chasu) ou pâté de poisson en forme de spirale (narutomaki).
Si vous allez à Tokyo, vous verrez très souvent des hommes d'affaires pressés en train d’engloutir des plats de udon en moins de temps qu’il ne vous en faudra pour commander ! Ce sont les nouilles traditionnelles japonaises par excellence, les plus consommées au Japon. Beaucoup plus épaisses que les ramen (pâtes de blé) ou les soba (pâtes de sarrasin), elles peuvent mesurer jusqu’à 4 mm de largeur. Elles sont fabriquées à partir de farine de froment, ce qui leur donne cette texture molle et élastique. C’est un plat très simple et rassasiant. Elles sont servies, chaudes ou froides, soit dans un bouillon salé, soit nature agrémentées d’un œuf cru.
Si vous aimez les fruits de mer, vous devez absolument goûter les takoyaki ! D’autant plus si vous passez par Osaka dont c’est la grande spécialité. Ces petits beignets moelleux sont préparés à base de pâte à crêpe et fourrés de morceaux de poulpes. Ils sont ensuite cuits dans de larges moules à trous. On les déguste sur le pouce, bien chauds, dans une barquette à emporter, assaisonnés d’un mélange de sauce soja sucrée, de mayonnaise et d’une poignée de bonite séchée.
Bien que ce soit un plat de friture, les tempura sont un mets fin et raffiné. Cette préparation à base de pâte à beignet peut être garnie de poisson et de fruits de mer frais ou encore de légumes croquants (racine de lotus, aubergine, potiron, champignons…). Les beignets font un rapide aller-retour dans l’huile bouillante ce qui leur confère cette friture légère et très croustillante. Ça craque sous la dent ! Les plus connues sont les tempura aux crevettes qui garnissent certains plats de riz japonais comme le Ten Don (ou Tempura Donburi).
Ce n’est ni plus ni moins que le curry indien revisité à la sauce nippone ! Pas de panique, ce curry-là ne pique pas beaucoup. La base est relevée de quelques petits légumes finement hachés : oignons, pommes de terre, carottes. Il peut être servi uniquement avec du riz blanc et de gros morceaux de légumes ou accompagné d’une tranche de porc pané (katsudon), on appelle alors ce plat katsukare. Le curry n’est jamais mélangé au riz, mais disposé juste à côté, ce qui sépare nettement l’assiette en deux.
Si cette viande, tendre et persillée, est réputée comme étant la meilleure viande au monde, ce n’est pas pour rien ! Sa texture est si riche et moelleuse qu’elle fond dans la bouche comme un morceau de beurre. 😍
Pour parvenir à un tel résultat, les bestiaux sont chouchoutés toute leur vie, ce qui donne une viande plus tendre et un meilleur gras. Cet mets rare et succulent est préparé sous vos yeux par un chef expérimenté, accompagné de divers légumes à la plancha. Originaire de Kobe, c’est dans cette région que vous trouverez les meilleurs restaurants.
Ces raviolis en forme de croissant de lune vous disent sans doute quelque chose puisqu’ils sont d’origine chinoise. On en trouve très souvent dans les restaurants asiatiques occidentaux. Ils sont traditionnellement fourrés au chou et au porc, mais il en existe aussi des versions végétariennes. Ils peuvent être cuits à la vapeur, bouillis, mais le plus souvent, ils sont frits. Ils s’accompagnent d’une sauce soja salée.
Au Japon, vous trouverez des restaurants de donburi à tous les coins de rue car ce sont ceux qui offrent le plus large choix de plats. Un donburi est simplement un grand bol de riz chaud recouvert de garnitures diverses et variées : porc pané (katsudon), crevettes panées (tendon), boeuf aux oignons (gyudon), sashimi (kaïsendon), anguille (unagidon)...
Envie d’une viennoiserie typiquement japonaise ? Tournez-vous vers cette
Le mochi ressemble à une petite boule de neige sucrée. Il est confectionné à base de riz gluant et traditionnellement fourré de pâte de haricot rouge (anko). Il en existe des versions très gourmandes à la crème pâtissière, au chocolat et à la crème glacée, parfois enrobé de sésame. Mais le mochi le plus raffiné est celui fourré d’une grosse fraise juteuse en son centre qu’on appelle ichigo daifuku.
Le terme “taiyaki” désigne une daurade cuite. C’est la raison pour laquelle cette gaufre à la forme d’un poisson. Ne vous y méprenez pas, il s’agit bien d’un dessert sucré, particulièrement apprécié en hiver. Comme beaucoup de pâtisseries japonaises, il est fourré à la pâte de haricot rouge (anko) ou parfois d’une purée de patate douce. Il est vieux de plus de cent ans et on le déguste notamment pendant les festivals. Variante estivale, mais beaucoup moins traditionnelle, le taiyaki fourré à la crème glacée.
Les crêpes japonaises sont une véritable curiosité pour tous les voyageurs. Ici, elles sont servies dans un cornet et garnies aussi bien de salé que de sucré. Et plutôt bien garnies d’ailleurs : crème glacée, fruits, cheesecake, pudding, brownie, et bien entendu recouverte d’une crème chantilly épaisse, sauce chocolat 🍫, caramel, amandes effilées… Côté salé : thon-mayo, salade, champignons, tranches de porc… Elles sont toujours présentées dépliées dans les devantures des boutiques, donc pas de surprise sur leur composition.