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Acropole, Parthénon, Agora, autant de sites archéologiques qui évoquent Athènes, l'une des plus anciennes métropole du monde et berceau de grands philosophes et artistes ! Bercée par les flots de la mer Égée, la capitale de la Grèce raconte, à travers ses monuments et vestiges archéologiques, l’histoire de la ville qui abritait autrefois l’une des plus puissantes et prospères civilisations que l’humanité ait connues.
Berceau de la mythologie, les dieux et déesses de l’Antiquité fascinent toujours autant et sont encore bien ancrés dans le patrimoine historique et culturel de l’ancienne cité. Sa célèbre Acropole dominant la ville fait bien entendu partie des incontournables à visiter au moins une fois dans sa vie. Au sommet de la colline, un vaste ensemble archéologique érigé il y a 2500 ans reflète la grandeur de la ville à son apogée, avec plusieurs temples notamment dédiés au culte d’Athéna, protectrice de la cité. Si aujourd’hui ces impressionnantes constructions érigées il y a plusieurs siècles peinent à être maintenues en bon état, elles méritent toutefois le détour. Car sur ces ruines antiques plane encore l’ombre des dieux et héros grecs. Mais loin d’être figée dans les méandres de son passé, Athènes est bien vivante et abrite plusieurs quartiers animés où habitants et visiteurs profitent de son atmosphère festive et chaleureuse.
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À voir également sur le site, un vaste théâtre construit au 6e siècle avant J-C, ainsi qu’un stade, où se déroulaient autrefois les jeux pythiques.
Située en pleine Grèce continentale à 160 km à l’ouest d’Athènes, Delphes a bien des histoires à raconter. Site archéologique parmi les plus importants du pays, chaque pierre, chaque colonne est empreinte de légendes mythologiques, qui remontent à la naissance de la ville. Zeus, cherchant à trouver le centre de la terre, envoya deux aigles dans des directions opposées, qui se retrouvèrent ici, à Delphes. Ainsi naquit la ville, surnommée « le nombril du monde ». Abritées sous les pentes du Mont Parnasse, ces ruines antiques et leur écrin naturel sont classés au patrimoine Mondial de l’UNESCO. Mais la légende connue partout dans le monde, est bien sûr celle de l’Oracle de Delphes, célèbre prêtresse consultée par les plus grands rois soucieux de connaitre leur avenir. C’est au centre du sanctuaire d’Apollon qu’étaient délivrées ces prédictions. Nombreux sont les curieux qui, fascinés par le mythe de l’oracle, viennent en pèlerinage sur ce lieu sacré.
Le musée archéologique de Delphes
À ne pas manquer, le musée archéologique de Delphes contient une belle collection de pièces trouvées sur le site archéologique. On arpente les différentes salles du musée, chacune exposant des trésors de l’Antiquité tels que le Sphinx ailé, les statues des éphèbes, le trésor de Siphnos, ou encore l’Aurige, grande statue de bronze datant de la fin de l’époque archaïque (5e siècle avant J-C). Rare en Grèce, les explications sont traduites en français !
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Une tenue correcte est exigée pour entrer dans les monastères, dont l’entrée vient récompenser une longue ascension.
Merveilles géologiques situées dans la plaine de Thessalie près de la ville de Kalampaka, les Météores, traduisez « roches suspendues au ciel », sont d’impressionnantes formations rocheuses d’une hauteur vertigineuse, sculptées au fil des siècles par l’érosion. Mais encore plus fascinant, au sommet de ces immenses blocs de pierre se trouvent plusieurs monastères érigés entre les 14e et 16e siècles, auxquels on accédait par des cordes et des poulies. Rassurez vous, aujourd'hui vous pouvez les visiter en prenant les escaliers ! Une fois arrivé, on ne peut qu’être subjugué devant l’aura spirituelle qui se dégage de ces lieux sacrés, tutoyant les cieux et semblant inaccessibles, comme suspendus dans les airs. Ce phénomène naturel est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, et fait partie des immanquables à voir lors d’un voyage en Grèce.
Plus nombreux autrefois, on ne dénombre aujourd’hui plus que six monastères encore en activité, gardés par des moines. Tous ouverts au public, on ne rate pas la visite du plus ancien d’entre eux, celui du Grand Météore, le plus grand et le plus haut, perché à plus de 600 mètres de hauteur. À l’intérieur, une église où les croyants viennent adorer les icônes, un musée, mais également une sacristie où sont entreposés les ossements des anciens moines résidents.
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La ville compte également plusieurs bonnes adresses où venir se délecter de la gastronomie locale, mélange de saveurs méditerranéennes et orientales. Pour un aperçu complet de cette richesse culinaire, on s’octroie une petite visite dans le grand marché de la ville.
Thessalonique, ville portuaire ouverte sur la mer Égée, est l’un des plus importants ports de Grèce. À l’intérieur de ses remparts, la ville dévoile un riche patrimoine architectural hérité de son passé historique, des antiques ruines romaines, byzantines, et ottomanes.
En partie détruite par un séisme durant le 20e siècle, la ville a su trouver l’équilibre parfait entre histoire et modernité. Sur le front de mer, se dresse fièrement la tour blanche, symbole de la ville. Mais c’est dans la ville haute, appelée Ano Poli, que l’on peut suivre les traces des différentes civilisations en se perdant dans le labyrinthe de ruelles colorées. Au programme, nombreuses églises byzantines et vestiges romains. À voir, la Rotonde, édifice circulaire ayant tour à tour servi d’église, puis de mosquée. Un passé historique qui lui confère une histoire et une architecture hors du commun avec la présence d’un minaret.
Ville d’art par excellence, Thessalonique compte d’importantes institutions culturelles dont le musée archéologique ou le musée d’art byzantin, situés dans la ville haute. Bien loin d’être figée dans son passé, la ville se passionne également pour les arts modernes, avec l’ouverture d’établissements culturels dédiés aux arts modernes, à la photographie, ou encore au cinéma.
Outre ses musées, la dynamique Thessalonique déborde de vie toute l’année avec un calendrier culturel bien chargé : festivals, expositions, concerts, shopping, sans oublier bon nombre de bars et boîtes branchées qui raviront les fêtards.
Le musée archéologique
Le musée archéologique de Thessalonique inauguré en 1962 est l’un des plus importants musées du pays. Derrière ces façades blanches, plusieurs collections permanentes présentent des œuvres d’art d’une infinie richesse, retraçant les grandes périodes de l’histoire de la Macédoine et plus généralement de la Grèce, de la Préhistoire jusqu’à l’époque romaine. L’une des salles est entièrement dédiée aux trésors de Macédoine. On peut y admirer plusieurs objets en or et en argent dont le grand cratère de Deverni au centre, ou encore la médaille en or des Jeux athlétiques de Borea, donnés en l’honneur d’Alexandre le Grand.
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À voir sur le site, le musée archéologique qui abrite divers objets déterrés autour du sanctuaire.
Le sanctuaire d'Asclépios, dieu guérisseur, est un haut-lieu de la médecine grecque. Durant l'Antiquité, les voyageurs affluaient de tout le pays pour y recevoir les soins de médecins renommés. S’il existe plusieurs asclépiéions en Grèce, le plus connu et le mieux préservé se situe dans la ville d’ Épidaure dans le Péloponnèse, et fait partie des sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. On y retrouve les endroits traditionnels où les malades étaient envoyés pour être soignés, à savoir des thermes ou encore un gymnase.
Le sanctuaire se compose également d’un grand théâtre antique à l’acoustique excellente, pouvant à l’époque accueillir jusqu’à 14 000 spectateurs. Un décor unique dans lequel il est encore possible d’assister à des représentations lors du festival « Athens Epidavros Festival », qui se tient chaque été.
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Très intéressant et instructif, on prend le temps pour visiter le musée archéologique d’Olympie, l’un des plus beaux du pays où sont exposés les objets trouvés sur le site. Parmi les pièces star de la collection, l’Hermès de Praxitèle entièrement réalisé en marbre de Paros, ou encore Zeus enlevant Ganymède
Terre des plus beaux sites antiques, c'est la ville de naissance des Jeux Olympiques, à l'époque où elle était le centre religieux de la Grèce. Le site tient son nom du Mont Olympe, résidence des dieux grecs. Aujourd’hui, le site archéologique conserve les vestiges de cette époque, avec notamment les temples de Zeus et d’Héra. Dans le premier, trônait autrefois la statue chryséléphantine de Zeus, l’une des sept merveilles du monde antique aujourd’hui disparue. Tout près de là, se trouve l’atelier du sculpteur Phidias, l’auteur de la statue. Enfin, Olympie se visite aussi pour ses installations sportives encore bien visibles, telles que le stade olympique, le gymnase, ou encore la palestre, terrain où venaient s’entrainer les athlètes.
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Observez bien les murs de la forteresse entourant l’ancienne cité : selon la légende, ils furent construits par des cyclopes, d’où leurs surnoms de remparts cyclopéens.
S’élevant au sommet d’une colline, le site de Mycènes reste l’un des principaux vestiges de la civilisation mycénienne. Cette merveilleuse ville encerclée de montagnes fut décrite dans l'Odyssée d'Homère comme la cité riche en or. Selon la mythologie grecque, Mycènes fut fondée par le roi Persée, avant de tomber entre les mains de la dynastie des Atrides, dont le personnage le plus connu est le roi Agamemnon, héros de la guerre de Troie. Assassiné à son retour par sa femme et l’amant de celle-ci, il fut vengé par son fils, Oreste, qui tua à son tour le couple adultère. Une vraie tragédie grecque !
Sur l’ancienne acropole de Mycènes, se trouvent les ruines de l’ancienne forteresse et son imposante Porte des Lionnes, gardienne de la cité. À l’intérieur, on ne manque surtout pas la visite du cercle A, un ensemble de tombes à coupoles royales découvertes par l’archéologue allemand Schliemann au 19e siècle. Une découverte qui permit également de mettre au jour un trésor inestimable dont le masque d’or d’Agamemnon, aujourd’hui exposé au musée archéologique d’Athènes. Sur place, on ne manque pas d’aller admirer « le trésor d’Atrée », l’une des plus belles tombes qui aurait servi de sépulture au roi Atrée. Enfin, impossible de manquer les vestiges du Palais Royal, point culminant de l’Acropole. Pour compléter la visite et devenir incollable sur la civilisation mycénienne, on file visiter le musée archéologique, qui expose divers objets utilisés dans le quotidien des mycéniens, ou encore des salles expliquant les rituels funéraires de ce peuple.
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Si le parcours est aujourd’hui balisé, il faut tout de même être en bonne forme physique, et se munir de bonnes chaussures de marche ainsi que de bouteilles d’eau !
Spectaculaire site naturel dans la région d'Epire, c'est le canyon le plus profond du monde ! Mesurant plus de 1000 mètres de profondeur, elles se classent deuxième sur la liste des canyons les plus profonds au monde, derrière celui des États-Unis. S’étalant sur une distance d’environ 10 km, une grande randonnée part du village de Monodendri jusqu’au village de Vikos. Le long du sentier balisé, les paysages sont époustouflants. Piquez une tête dans l'eau glacée et cristalline des sources de Voidomatis, qui serpente entre les falaises vertigineuses. Un véritable spectacle naturel qui ne laisse personne indifférent.
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Dans la vieille ville, on peut apercevoir la maison du poète grec Yannis Ritsos, l’enfant du pays.
Située dans le sud du Péloponnèse, la ville fortifiée de Monemvasia est l’une des plus belles escapades à faire en Grèce. Construite sur un îlot rocheux relié à la côte par une digue, la ville est comme coupée du monde, ce qui lui confère son atmosphère si particulière.
Surnommée la Gibraltar de l’Europe, cette forteresse naturelle à l’emplacement stratégique fut longtemps convoitée successivement par les vénitiens, les byzantins ou encore les Ottomans. Arriver dans la vieille ville de Monemvasia, c’est comme franchir un portail magique et se retrouver en pleine époque médiévale. Pour la découvrir, on coupe son téléphone portable pour une totale déconnexion. Puis on part s’imprégner de l’ambiance tellement romantique de ce lieu, en flânant dans ses ruelles pittoresques bordées de magasins, de restaurants et de cafés.
La ville compte également de charmantes églises byzantines, 24 pour être exact, toutes plus belles les unes que les autres. Incontournable, la montée jusqu’en haut de la citadelle pour admirer le coucher du soleil sur la mer. Un spectacle à ne pas rater ! En fin de journée, on fait une halte dans l’une des tavernes de la vieille ville pour déguster mets et vins locaux, ou bien on vient se rafraîchir dans les eaux cristallines de la plage, accessible par la porte de Portello.
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On pense à se munir d’une veste, la température dans la grotte ne dépasse pas les 17°C.
Près de la ville d’Ioannina, un fabuleux site géologique attend les visiteurs à seulement quelques mètres sous leurs pieds : la grotte de Pérama. Formée il y a 1,4 million d’années, ce labyrinthe souterrain est le résultat de l’érosion de la roche calcaire. Découverte durant le 20e siècle, la grotte, longtemps fermée au public se transforma en un bunker naturel lors de la Seconde Guerre Mondiale. Aujourd’hui, un sentier guidé conduit les visiteurs pour ainsi dire, dans les entrailles de la terre, sur un sentier de 850 mètres accessible après avoir descendu un escalier de 183 marches. Dans les galeries, une succession de stalactites et stalagmites aux formes fantasmagoriques offre un spectacle plein de mystères. À la sortie, une jolie vue sur l’île et le lac d’Ioannina attend les visiteurs.
Localisée dans la région de Macédoine, le mont Athos, montagne sacrée qui culmine à plus de 2000 mètres d’altitude, est une république monastique où vivent aujourd’hui près de 2000 moines reclus dans une vingtaine de monastères orthodoxes. Célèbre lieu de pèlerinage, on n’y rentre toutefois pas comme dans un moulin : pour espérer y pénétrer, il faut une autorisation spéciale délivrée par les autorités administratives du Mont Athos. Autre particularité source de nombreuses polémiques, ce lieu, également appelé « la Sainte Montagne » est strictement interdit aux femmes, les moines ayant fait vœu de chasteté. L’interdiction va même encore plus loin car même les animaux femelles y sont totalement bannis ! Cette règle largement dénoncée comme étant discriminatoire et misogyne n’a pas empêché le site de figurer sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Voguez jusqu’au nord du Péloponnèse pour découvrir l’île de Patras, riche d’un patrimoine culturel encore assez méconnu. L’île a su conserver ses multiples influences historiques, entre son odéon roman, son château bizantin et son musée archéologique.
Dans les quartiers modernes, ambiance animée et vie commerçante battent leur plein, tandis que la vieille ville se targuent d’une tranquillité dans les hauteurs de Patras.
Du canal de Corinthe à l’Acrocorinthe, en passant par l’Héraion de Pérachora, la ville de Corinthe est un joyau historique que les voyageurs curieux ne cessent d’explorer. Après la découverte du patrimoine de Corinthe, direction les stations balnéaires pour profiter d’un moment de détente bien mérité !
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On pense à se munir de bonnes chaussures de marche, car la découverte de Mystras n’est faite que de montées et de descentes. En été, on s’y rend plutôt tôt le matin, afin d’éviter les grosses chaleurs de la journée.
Située près de la ville de Sparte dans le sud-est du Péloponnèse, la ville de Mystras fut construite à flanc de colline, pour entourer le château fort se trouvant au sommet, construit au XIIIème siècle par Guillaume II de Villehardouin. Aujourd’hui, « la perle de Morée », inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, cache de nombreux trésors historiques laissés par les byzantins, dont de nombreux édifices religieux tous rénovés ou en cours de rénovation. La visite débute donc dans la ville basse, dans le dédale de ruelles et de routes qui montent jusqu’au château. En chemin, on fait une halte dans la Métropole de Saint-Dimitri, la plus vieille église de Mystras à trois nefs, ou encore au monastère de Pantanassa, construit au 15e siècle et qui abrite des fresques d’un réalisme saisissant.Le parcours continue avec l’exploration de la ville haute : la découverte du Palais, résidence des empereurs byzantins qui se succédèrent durant le 15e et 16e siècle, puis la citadelle ou le Kastro, la ligne d’arrivée d’où l’on peut contempler un superbe panorama sur la vallée et sur Sparte. Une belle récompense après une marche quelque peu sportive.